Vous êtes dirigeant ou responsable financier d’une entreprise ou d’une association ?
Que votre organisation fasse contrôler ses comptes parce que la loi le demande ou que votre démarche soit volontaire, l’objectif de la certification des comptes reste le même : vous garantir, en toute indépendance, la fiabilité des comptes et la transparence des procédures financières, comptables et de contrôle interne.
Jérôme Bruel, commissaire aux comptes rattaché à la CRCC de Toulouse et fondateur du cabinet Validex Conseils, assure personnellement la majorité des travaux d’audit.
L’audit légal vous permet d’assurer une communication fiable et sincère de vos informations financières.
L’audit contractuel vous permet d’avoir une analyse fine des risques relatifs aux différents cycles de l’entreprise (juridiques, sociaux, fiscaux, organisationnel) avant la prise de décision.
En certifiant la régularité et la sincérité des comptes, le commissaire aux comptes contribue à entretenir la confiance de tous vos partenaires : investisseurs, fournisseurs, financeurs publics, clients, banques… Qui sont plus à même de s’engager à vos côtés.
Nous nous adaptons à votre entité, quelle que soit son activité et sa taille. La certification des comptes n’est pas réservée qu’aux grands groupes. Les petites structures sont également concernées par une exigence de transparence. La profession a élaboré une norme d’exercice professionnel spécifique, adaptée à la taille et aux enjeux des petites sociétés. L’audit peut être un atout pour le développement de votre entreprise, dans le but d’attirer des investisseurs par exemple.
Normée, contrôlée et rigoureuse, la mission du commissaire aux comptes est surtout un engagement sincère à vos côtés. La durée du mandat – 6 ans – nous permet d’acquérir une connaissance profonde de votre activité et de votre environnement économique. Nous envisageons notre mission dans une perspective de long terme, avec l'objectif de contribuer à la prévention des difficultés éventuelles de votre entité, qu’il s’agisse d’une entreprise ou d’une structure des secteurs associatif, syndical et public.
C’est aussi l’avantage de faire appel à un cabinet de proximité, qui connaît parfaitement le tissu économique local, et avec qui vous pouvez avoir des contacts réguliers.
La mission légale se déroule en six grandes étapes, tout au long de l’exercice. Au-delà de la démarche d’audit normée, le commissaire aux comptes connaît les spécificités des secteurs d'activité de chacun de ses clients. Il sait quels sont les points particuliers sur lesquels porter une vigilance accrue. Ainsi, son intervention prend un caractère unique.
L’analyse de votre situation.
Un premier échange permet au commissaire aux comptes de comprendre la situation de votre entité.
L'explication des modalités d'intervention.
Le commissaire aux comptes rédige sa lettre de mission.
La définition du plan de mission
Et du programme de travail, qui permet de réaliser une première cartographie des risques.
La mise en œuvre des procédures d’audit
Analyse des comptes, investigations par sondages, évaluation du contrôle interne, remarques sur les points à améliorer et demandes d'ajustements.
Synthèse de la mission
Echange avec les responsables, vérification des ajustements demandés, validation des comptes.
La restitution des travaux
Et la présentation du rapport aux organes délibérants. Le commissaire exprime son opinion en certifiant ou non les comptes, avec ou sans réserves.
Au-delà de la certification des comptes, nous pouvons réaliser un certain nombre de prestations liées à sa mission, appelées diligences directement liées (DDL). Il peut s'agir, par exemple, d’attester des comptes intermédiaires avant une demande d’emprunt, de donner une opinion sur des comptes prévisionnels, de fournir des attestations pour l’obtention de subventions, ou de faire un audit d'acquisition avant une éventuelle transaction.
Nous respectons les règles professionnelles telles que prévues dans le code de déontologie de la profession de commissaire aux comptes, qui reposent sur six principes fondamentaux : intégrité, impartialité, compétence, indépendance, confraternité et discrétion
Nous veillons à maintenir un degré élevé de compétence. Comme tous les commissaires aux comptes, nous sommes soumis à une obligation de formation continue.
Nous auditons en respectant des normes d’exercice professionnel françaises, issues des normes internationales d’audit, adaptées au contexte national par la CNCC et homologuées par le ministère de la justice.
« En tant que commissaire aux comptes, je travaille principalement avec les PME et les associations locales. La taille raisonnable du cabinet et la proximité sont des atouts : nous avons une approche adaptée aux petites structures qui permet des échanges fluides et des coûts maîtrisés. Il faut savoir que même une petite association, du moment où elle perçoit plus de 153 000 euros de subventions publiques par an, doit faire certifier ses comptes. Aujourd’hui, tout le monde a envie de transparence : les financeurs, les dirigeants, mais aussi les salariés et les adhérents. Il est important de s’assurer que l’argent de la structure est bien utilisé. »